Il y a quelques années, j’ai voulu écrire sur un phénomène qui prenait de l’ampleur, mais qui restait ignoré par bien des dirigeants d’entreprises et, évidemment, par le grand public. Ce phénomène était l’apparition de réputations numériques, de e-réputation. La rédaction de ce livre fut en quelque sorte un travail de chercheur d’or qui hésite, fouille à droite, devant lui, à gauche. Normal, le sol qu’il explore n’est cartographié nulle part. Il hésite et, finalement, avance quand il sent que le filon d’or est là, à portée de main.
Sindup, une entreprise et une vision
Publié le 25 février 2021 ...
Il y a des entreprises ou, plus largement, des organisations qui marquent un moment de votre vie et qui, de ce fait vous accompagne, pas forcément en termes de flux d’affaires, mais intellectuellement. Leurs valeurs peuvent expliquer cette proximité durable et c’est le cas de Sindup.
Une belle rencontre
Dans mon cas, derrière le filon, il faut voir ‘‘la’’ stratégie. Celle que je voulais concevoir, déployer et tester, pour ensuite la proposer à celles et ceux que cela pourrait intéresser.
Et puis, un jour, mon chemin a croisé celui de Sindup. Il y avait là un concentré d’intelligence, d’énergie et de techniques qui avait permis de créer ce que l’on appelle facilement une appli, ou un tableau de veille. Cet outil permettait d’automatiser la recherche d’informations, de les analyser afin — par exemple — de déceler et afficher la tonalité des propos (positifs, négatif ou neutre). Évidemment, Sindup ne s’arrêtait pas là et proposait une série d’outils de visualisation de la matière issue de plus de 50 millions de sources d’information internationales analysées, de manière à pousser plus loin les analyses pour une veille stratégique 360°.
Sindup, simplicité et modestie
Le travail de Sindup ne rendait pas inutile la partie amont de ma stratégie. Par contre, il prenait en charge toute la partie recherche de données, tri, classement, primoanalyse et présentation. Je ne pouvais que frapper à leur porte pour échanger avec eux et tester leurs outils.
Avec toute la simplicité que l’on trouve encore aujourd’hui dans cette entreprise, ils m’ouvrirent leur porte, me permirent de tester leurs outils. Avec une immense modestie, ils écoutèrent mes remarques, répondirent à mes questions et acceptèrent aussi de rares faiblesses que je mis en lumière par un usage intense de leur plateforme.
Chacun reprit sa route, à la poursuite de ses objectifs, mobilisant son attention sur les attentes de ses clients et évoluant au fil des années et d’autres rencontres.
Sindup, les universités, « le grand rebond »
2020, nos routes se croisent à nouveau et Mickaël Réault est toujours à la tête de Sindup. Cette continuité a permis à l’entreprise de grandir dans tous les sens du terme. Ainsi, à côté de ses solutions de veille pour de grands noms de l’économie française (agroalimentaire, assurance, transports, etc.), on trouve des actions menées avec des universités comme Panthéon-Sorbonne et visant à permettre à des étudiants de s’initier à la veille internet sur des projets d’entreprises avec des outils ‘‘pros’’. Et puis, parce que Sindup moissonne des volumes impressionnants d’informations, Mickaël Réault et son équipe créent des observatoires ouverts à tous, en partenariat avec des réseaux professionnels pluridisciplinaires.
Enfin, il initie « Le Grand Rebond » (LGR). L’objectif est d’aider collaborateurs et dirigeants d’entreprise « à découvrir de nouveaux modèles inspirants », des modèles dont il importe de s’inspirer pour relever les challenges du XXIe siècle.
Quoi de plus motivant, pour chacun d’entre nous de chercher à atteindre les 17 Objectifs de Développement Durable (ODD) qu’a énoncés l’ONU pour éviter le déclin de nos sociétés ?
À la différence de ma première rencontre avec Sindup, aujourd’hui — smartphone oblige — ses observatoires, son système de veille — et « Le Grand Rebond— ne quittent plus mes poches…