Comme l’explique Bruno Teboul[1], « les cyberattaques par ingénierie sociale ]…[sont une forme d’attaque psychologique qui exploitent les faiblesses des fonctions cognitives humaines. » Ce sont ces attaques, d’une redoutable efficacité, que j’ai commencé à aborder dans un précédent article via deux biais cognitifs, la curiosité et l’appât du gain. Ce sont les principaux biais — et les plus simples — activés par les hackers.
Comme promis, je poursuis aujourd’hui avec deux phénomènes pouvant être imbriqués et qui nous rendent ‘‘faibles’’ face aux cyberattaques. Le premier phénomène est le stress. Quant au second, c’est ce que l’on appelle le tunneling ou effet tunnel.
[1] https://www.europeanscientist.com/fr/opinion/approche-cognitive-des-cyberattaques-par-ingenierie-sociale/